Rachat de rachat de crédits romans - Drôme (26)
Michel et Laëtitia, la cinquantaine, propriétaires à Romans
Michel et Laëtitia sont mariés et propriétaires de leur appartement à Romans-sur-Isère. Ils sont tous les 2 fonctionnaires avec 3 enfants à charges. Leur situation financière pourtant très stable n'a pas empêché un endettement élevé et à réaliser un premier regroupement de prêts. Pour combler le découvert bancaire ils ont eu débloqué un crédit renouvelable et des dettes de charges de copropriété impayées.
Avec ce nouveau regroupement de prêts propriétaire, Michel et Laëtitia ont remboursé leurs dettes, comblé leur découvert bancaire et obtenu une trésorerie de sécurité 4 200€, en cas de nouveaux coups durs.
Vous aussi vous souhaitez faire un deuxième rachat de crédits ?ROMANS sur Isère 26
Romans sur Isère est une ville du département de la Drome en région Auvergne-Rhône-Alpes, sa population est de 33.000 habitants les « romanais et les romanaises » et son altitude moyenne 200 mètres. Son environnement comprend les villes de : Grenoble, Privas, Vienne, St Etienne, Le Puy en Velay, Valence, Montélimar, Bourg lès Valence, Crest, Pierrelatte, Bourg de Péage, Porte lès Valence, St Paul trois châteaux, Livron sur Drome, Nyons…Son économie repose sur l’agriculture avec différentes spécialités telles : vergers caprins, bovin, tommes de chèvre, pognes, ravioles distilleries, truffes noires, coopératives agricoles maraichères et laitières, mais également la ville est très réputée depuis longtemps pour son industrie de la chaussure de luxe, mais cette spécialisation a très fortement chutée au tout début du XXI siècle, il ne reste aujourd’hui que 2 marques exploitées et produites par une société romanaise. Une nouvelle activité est venue depuis réindustrialisée la ville dans le ‘nucléaire’ produisant du combustibles nucléaire pour les centrales électriques et des réacteurs de recherche, mais également la plasturgie-mécanique de précision-plasturgie-tannerie du cuir et l’émergence de nouvelles marques de chaussure, sans oublier quelle devient peu à peu la capitale du Made in France et des commerces de circuit court…
Romans sur Isère très agréablement située près du Vercors et au bord de la rivière Isère, offre aussi les visites de son patrimoine architectural, avec la Collégiale St Bernard dans le centre ancien fondée au XII siècle, le Musée de la Chaussure installé dans un ancien couvent, présente une collection remarquable et unique de chaussures des origines à nos jours, la Tour Jacquemart une ancienne porte de rempart, la Place aux Herbes, le Calvaire des Récollets, le Centre historique de la Résistance et de la Déportation, l’église moderne Notre-Dame de Lourdes et aussi ‘Marques-Avenue’ réunissant de nombreux commerces de produits dégriffés, le musée des Ravioles Maury du XIX…Dans les environs à découvrir St Antoine-l’Abbaye classé ‘plus beau Village de France’, Pont-en-Royans pour ses maisons médiévale, Tournon sur Rhône et son château, le Palais Idéal du facteur Cheval à Hauterives, Crest et sa tour du XI, Mirmande un merveilleux petit village médiéval, Malleval un village typique du Massif du Pilat, le château de Crussol çà St Péray, les Gorges de la Bourne et la grotte de Choranche, le Safari de Peaugres…
Romans sur Isère est née en l’an 838 lors de la fondation de l’Abbaye St Bernard par l’Archevêché de Vienne. Les siècles suivant connurent de multiples évolutions religieuses et civils, le développement de la ville remonte au X siècle, avec une puissante industrie de fabrication de draps par des artisanats et commerçants qui se perpétue jusqu’au XVII, un marché s’installe près de la Collégiale St Bernard au XI, lequel est toujours actif aujourd’hui ! Un nouvel essor est donné au XII par une prospérité économique importante, résultant de nouveaux commerces et constructions, ainsi qu’au XIV les premières mégisseries et tanneries, dès le XV siècle la draperie romanaise s’exporte jusqu’en Orient. Au cours du XVII la draperie disparue au profit de la tannerie et la soie, à cette époque la ville se couvre de nombreux couvents et monastères, (capucins-ursulines-récollets…). Le XVIII fut celui de l’extension administrative et juridique de la ville, suivi au XIX de la naissance de l’industrie de la chaussure et développement de la tannerie, devenant très prospères en employant jusqu'à 4000 salariés et contribuant à son fort développement démographique, mais à partir de la crise économique de 1974 se fut un déclin inéluctable qui entraina des milliers de licenciements. Depuis le début du XXI, quelques marques de chaussures subsistent, une nouvelle dynamique économique est donnée avec l’ouverture de ‘Marques-Avenue’, ainsi que le renouveau de l’industrie agroalimentaire…
La vente est subordonnée à l'obtention du prêt ; si celui-ci n'est pas obtenu, le vendeur doit rembourser les sommes versées.